RSE : l’ADERLY dévoile son évaluation ESG

« 76/100 » : c’est la note qui confirme l’ADERLY dans son positionnement sur les transitions écologiques et sociales, et c’est aussi son score ESG (critères Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance) obtenu sur un audit piloté par Gen’éthic et conduit par Label ESS.

En 2021, l’Aderly s’est soumise à un audit sur les critères ESG, mais aussi métier, piloté par la start-up lyonnaise Gen’éthic. Cet audit est un véritable « test ADN » pour les entreprises, avec l’objectif de mesurer son impact social et écologique. L’Aderly a obtenu une note globale de 76/100 à l’évaluation et choisit la transparence en publiant l’intégralité de son diagnostic.

Qu’est-ce que Gen’éthic ? Gen’éthic fournit aux entreprises la première évaluation RSE entièrement transparente et accessible au public. En effet, les évaluations détaillées sont accessibles à tous sur sa plateforme web. Ce système de notation permet aux entreprises de mesurer leur performance sur 4 axes (écologie, social, économie, gouvernance) et sur plus de 100 indicateurs, qui tiennent compte de leur taille et leur secteur d’activité. Suite à cette évaluation, elles obtiennent un diagnostic qui leur permet d’analyser leur positionnement par rapport à l’ensemble des entreprises françaises, et de bâtir une feuille de route cohérente en matière de développement durable.

L’Aderly dans le top 10% des entreprises évaluées Avec une note globale de 76/100, l’Aderly se positionne parmi le top 10% des entreprises les plus éthiques évaluées par Gen’éthic. L’Agence se situe ainsi au-dessus de la note globale moyenne obtenue sur l’ensemble des entreprises évaluées à date (tous secteurs confondus), qui est de 71/100. Evaluer pour mieux progresser Pour l’Aderly, cette évaluation s’inscrit dans une logique d’amélioration continue de ses pratiques RSE et de sa contribution à l’atteinte des 17 Objectifs de Développement Durable des Nations Unies en s’adossant aux critères ESG.

Gen’éthic lui permet à la fois de mesurer ses engagements (bilan annuel des émissions gaz à effet de serre sur ses déplacements depuis 2009, obtention du label LUCIE en 2015, adhésion au Plan Climat Air Energie Territorial, membre du réseau mondial Global Compact, signataire de la Charte de la Diversité, membre du réseau Mix’R, rédaction d’une charte éthique, tri sélectif, etc.), et d’être dans une démarche-progrès au quotidien. Bien que l’Aderly soit avancée sur ses mesures d’impacts social et écologique, elle cherche constamment à progresser et à suivre son évolution. L’évaluation lui a permis d’identifier ses principaux points forts et ses axes d’amélioration prioritaires qui feront l’objet d’un plan d’actions spécifiques dans les mois et les années à venir.

Jaguar Network lance la construction d’un troisième datacenter à Lyon

Après le rachat en 2018 de DCforData et de son centre de données à Limonest, Jaguar Network a inauguré son deuxième datacenter « Rock » en 2019 à Lyon. Aujourd’hui l’opérateur et hébergeur lance la construction d’un troisième site pour répondre à la demande croissante d’hébergement de données localement en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Avec ce nouveau datacenter, Jaguar Network a pour objectif de préserver la souveraineté numérique de l’hébergement des données de ses clients. Nicolas Pitance, directeur des datacenters, précise :

« Nous constatons une forte demande d’hébergement local des données de la part du tissu économique régional. Groupes familiaux, ETI, PME et comptes publics tels que les universités ou les hôpitaux, tous veulent pouvoir accompagner leur transformation numérique en comptant sur la garantie d’infrastructures souveraines situées sur notre territoire ».

La construction de ce datacenter montre la confiance de Jaguar Network dans le potentiel de la région lyonnaise, avec pour ambition de proposer immédiatement de nouveaux services complémentaires pour des secteurs précurseurs comme l’industrie 4.0 et la e-Santé. Si le datacenter Rock est prioritairement dédié à l’informatique de santé et aux objets connectés, ce nouveau site, spécialisé dans la smart city, les enjeux de l’IA et du big data, aura pour vocation de créer de nouveaux partenariats avec l’écosystème.

Filiale B2B du Groupe iliad, Jaguar Network accompagne au quotidien les entreprises dans leur transformation numérique. Le groupe bénéficie d’expertises reconnues dans l’univers des télécommunications, du cloud, de l’IoT et des services managés.

Elise aide l’Aderly dans le tri et le recyclage de ses déchets !

Fondée en 1997, ELISE (Entreprise Locale d’Initiative au Service de l’Environnement) est née de la double idée d’assurer la collecte et le recyclage des papiers de bureau et de créer une activité visant à assurer un emploi stable à des personnes en difficultés d’insertion, notamment pour cause de handicap. Les sites ELISE accompagnent ainsi les entreprises dans la mise en place du tri sélectif de leurs déchets de bureau.

Si l’activité d’ELISE a démarré il y plus de 20 ans avec le recyclage du papier, le réseau ELISE est aujourd’hui l’expert français de la collecte et du recyclage de l’ensemble des déchets de bureau. 13 types de déchets différents peuvent être valorisés : le papier et carton, les plastiques souples, les bouteilles plastique et en verre, les gobelets plastique et/ou en carton, les canettes en fer ou en aluminium, les piles, les cartouches d’encre d’imprimantes et fax, les DEEE (Déchets Electriques et Electroniques : matériel informatique), les lampes et tubes néons, le bois et le mobilier de bureau, les radiographies et les capsules café.

Aujourd’hui, 475 personnes travaillent sur les 41 sites ELISE qui ont tous un agrément d’entreprises adaptées ou entreprises d’insertion. ELISE a installé 631 300 corbeilles chez 13 500 clients.

ELISE s’installe à l’Aderly

Dans le cadre de la vision plus sélective de l’Aderly sur le tri des déchets, l’Agence a choisi de faire appel à ELISE pour le recyclage de certains d’entre eux. Ainsi, depuis début octobre 2020, un ilôt a été installé dans les locaux pour le recyclage du papier et du carton, des bouteilles en plastiques, des piles, ainsi que les équipements de protection individuels COVID-19. Deux fois par mois, un collecteur ELISE viendra sur site afin de récolter les déchets en vue d’être recyclés.

Découvrez la Bobine, le nouveau tiers-lieu de Tarare !

La Communauté d’Agglomération de l’Ouest Rhodanien (COR) accompagnée par Etic, a créé un tiers-lieu de 885 m² dans l’ancienne usine textile des Teintureries à l’entrée de la ville de Tarare. Ce nouvel espace, destiné à accueillir entrepreneurs, porteurs de projets, salariés et entreprises, a pour vocation de favoriser les rencontres, les initiatives et l’activité économique dans un environnement convivial ou l’usager sera placé au centre. Dès janvier 2021, cet espace de travail partagé, appelé « La Bobine », rassemblera de multiples compétences.

Territoire à Énergie POSitive et territoire d’expérimentation, la COR souhaite accueillir dans ce nouveau tiers-lieu des projets et entreprises à forte valeur ajoutée dans les domaines du développement durable, de l’innovation et du numérique. Ces initiatives trouveront à Tarare un terrain favorable pour développer leurs projets au sein d’un écosystème privilégié (accompagnement à la création et au développement par des experts, pôle entrepreneurial, réseaux d’entreprises, locaux modulables, partagés et/ou individuels, outils et services partagés).

Le tiers-lieu se construit également dans une perspective de rejoindre les ambitions du territoire, la transition énergétique, le développement numérique et l’innovation. Autour de ce projet, la communauté d’agglomération a la volonté d’associer le grand public, lycéens, entrepreneurs, porteurs de projets, salariés et entreprises.

Il se composera de :

  • Un musée numérique avec la présence de Micro-Folie
  • Un espace de formation
  • Des salles de réunion (à l’heure, à la journée ou en récurrent)
  • Des bureaux de 11m² à 25m²
  • Une conciergerie d’entreprises
  • Le pôle entrepreneurial de la COR
  • Un espace de co-working à temps partiel ou temps plein accueillant entrepreneurs et télétravailleurs (bureaux fermés et ouverts)
  • Une agora pour des conférences, débats ou ateliers
  • Une salle de créativité pour les séminaires ou les activités ludiques ou de bien-être

Téléchargez la plaquette du Tiers-Lieu

Découvrez La Bobine en vidéo

L’entreprise lyonnaise Okeenea Digital facilite la mobilité des personnes handicapées

En 1993, Okeenea créait les feux sonores qui permettent aux personnes aveugles de traverser les rues en toute sécurité. Depuis plus de 25 ans, la société apporte des solutions d’accessibilité sur toute la chaine du déplacement. Elle invente, fabrique et installe des équipements pour créer des villes plus inclusives notamment pour les personnes handicapées. Aujourd’hui, plus d’un milliard de personnes seraient en situation de handicap dans le monde selon l’OMS. Pour répondre à ces enjeux majeurs, Okeenea a développé plusieurs entités avec des métiers et expertises différents, dont le dernier en date : Okeenea Digital. Les usages pour les personnes handicapées évoluent au quotidien et tout s’est accéléré grâce aux nouvelles technologies.

Okeenea Digital propose ainsi des solutions digitales innovantes afin d’assurer un service sur mesure et ainsi contribuer à la mobilité inclusive pour toutes les personnes en situation de handicap. Comment garantir l’accès à la ville, la sécurité et la mobilité de tous notamment ces personnes à besoins spécifiques ? L’une des solutions développées par Okeenea Digital s’appelle Evelity. Cette application lancée sur le marché en 2019 est le premier GPS fonctionnant à l’intérieur des bâtiments, qui s’adresse aux personnes en situation de handicap (malvoyants notamment). Evelity leur permet un guidage pas à pas, un cheminement spécifique et des interfaces adaptées sur smartphone. Il vise les exploitants de « lieux complexes » en France et à l’international comme les transports en commun (métro, gares) ou les musées, aéroports, universités, etc.

Okeenea Digital a remporté le trophée Bref Eco 2020 dans la catégorie Innovation sociale, sociétale et environnementale.

Ronalpia et Saint-Etienne Métropole lancent le Booster d’Innovation Sociale !

A l’occasion de la Biennale Internationale Design Saint-Etienne 2021, Saint-Etienne Métropole et Ronalpia déploient un nouveau programme pour accompagner les entreprises sociales dans leur changement d’échelle : le Booster de l’Innovation Sociale !

Ce programme s’adresse aux entreprises sociales de la Métropole Stéphanoise ou prévoyant de s’implanter à Saint-Etienne, et qui souhaitent être accompagnées dans le changement d’échelle. Le Booster d’Innovation Sociale leur propose un accompagnement individuel et collectif de mars à juin pour préparer leurs projets de développement et une immersion d’une semaine du 7 au 11 juin lors de la semaine de l’Economie Sociale et Solidaire.

Ce programme innovant réunit des experts du territoire (l’Aderly, la Mife Loire Sud, France Active Loire…), des problématiques du changement d’échelle et du design de services (Cité service). Il propose des formations collectives, un accompagnement individualisé, une mise en réseau, des échanges entre pairs, afin que les entreprises disposent de toutes les conditions nécessaires à la réussite de leur changement d’échelle. Enfin, il permet de bénéficier d’une mise en visibilité inédite dans le cadre de la Biennale Internationale Design qui se déroulera du 28 avril au 21 août 2021.

Les entreprises intéressées peuvent postuler en remplissant le dossier de candidature sur la plateforme Selecteev avant le 15 février : https://booster-innovation-sociale.selecteev.io/

Deux réunions d’information collectives sont organisées :

  • Mardi 26 janvier de 10h à 12h au Coworking du Mixeur Saint-Etienne – inscriptions cliquez ici
  • Mardi 2 février de 9h30 à 11h30 en visioconférence – inscriptions cliquez ici

Pour toute question : romain.truchi@ronalpia.fr

Santé publique vétérinaire : le Hub VPH fête son 1er anniversaire et lance la chaire industrielle IDEX-Lyon

Créé en janvier 2020 à Lyon, le Hub VPH est le premier hub mondial en santé publique vétérinaire, qui a pour ambition de réunir les acteurs privés et publics. L’objectif est de catalyser les forces de la recherche, de l’innovation, de l’éducation et de l’industrie en région Auvergne-Rhône-Alpes pour répondre à plusieurs enjeux majeurs de santé publique, enjeux particulièrement d’actualité aujourd’hui :

  • Lutte contre les maladies animales transmissibles à l’homme (zoonoses),
  • Lutte contre l’antibiorésistance,
  • La sécurité sanitaire des aliments,
  • La préservation de la biodiversité,
  • La gestion de crise des épidémies animales (épizooties) à forte portée économique.

Presque un an après sa création, le Hub a annoncé en décembre dernier le lancement officiel de la Chaire industrielle IDEX-Lyon en santé publique vétérinaire, par l’Université Claude Bernard Lyon 1 et VetAgro Sup, en partenariat avec Boehringer Ingelheim, le CNRS et l’Université de Lyon. Dirigée par l’épidémiologiste Thibaud Porphyre et hébergée à VetAgro Sup, la chaire vise à promouvoir une dynamique interdisciplinaire fondée sur une vision élargie de la santé publique.

Il s’agit ainsi de développer cette approche par la création de formations interdisciplinaires pour des publics diversifiés et internationaux, mais aussi par la recherche, via la mise en place de projets intégrant les problématiques de l’éco-épidémiologie, de la socio-économie appliquées au choix de plans d’intervention en santé animale et le développement d’outils d’aide à la décision à destination des pouvoirs publics et des industriels.

La chaire s’appuie sur un tissu académique et industriel dense en infectiologie et vaccinologie, ainsi que sur une structuration de l’écosystème régional autour du concept One Health, avec des réseaux de surveillance et de recherche en santé animale et pour l’activité pédagogique, sur l’ENSV-FVI2 de VetAgro Sup devant assurer le déploiement d’un Master international en santé publique vétérinaire.

Pour rappel, l’Aderly, la Région Auvergne-Rhône-Alpes, Bioaster, Boehringer Ingelheim, l’Institut Mérieux, Lyonbiopôle, la Métropole de Lyon, l’Université de Lyon et VetAgro Sup sont les 9 acteurs fondateurs de l’écosystème régional de santé Hub VPH. À ceux-là, s’ajoutent deux partenaires associés : INRAE, ANSES.

LOTI, le nouveau parc d’activités économiques de Saint-Étienne Métropole

Saint-Étienne Métropole vient de lancer la commercialisation d’un nouveau parc d’activités économiques (PAE), LOTI, dans un quartier de Saint-Etienne en forte mutation, où se mêlent services de proximité, qualité résidentielle et environnement naturel riche.

À destination des activités industrielles et de services, le PAE LOTI de 4,5 hectares s’adapte aux besoins des entreprises avec des surfaces cessibles viabilisées et variées de 1 000m² à 5 300 m². Ce projet d’envergure qui s’élève à plus de 6 millions d’euros HT a bénéficié du soutien de la Région Auvergne-Rhône-Alpes et du Département du Rhône. Lancés en juillet 2020, les travaux du parc devraient s’achever fin 2021. Ils prévoient :

  • la création d’une voirie de près de 500 mètres et la reprise de tous les réseaux (d’assainissement, de gaz, d’électricité, etc). Aménagé pour les modes doux, cet axe sera également desservi par une ligne de bus.
  • le réaménagement des espaces publics pour mieux les connecter à la nouvelle voirie et créer des espaces de balades.
  • l’installation de 2 bassins de rétention, l’un créés par la Ville de Saint-Étienne, l’autre par la Métropole, pour recueillir les eaux pluviales lors de violents orages.
  • la plantation d’espèces végétales variées pour une meilleure intégration paysagère du parc.

Choisir LOTI, c’est implanter son entreprise au cœur d’un territoire d’avenir. En effet, avec 400 000 habitants sur 53 communes, la Métropole de Saint-Étienne est l’un des territoires les plus dynamiques d’Auvergne-Rhône-Alpes. Située à 45 minutes de Lyon, elle concentre un pôle économique attractif, un campus universitaire en fort développement et dispose d’un cadre de vie de grande qualité.

10 faits et chiffres sur l’Economie Sociale et Solidaire

L’économie sociale et solidaire (ESS) désigne un ensemble d’entreprises organisées sous forme de coopératives, mutuelles, associations, ou fondations, dont le fonctionnement interne et les activités sont fondés sur un principe de solidarité et d’utilité sociale.

(Source ministère de l’économie des finances et de la relance) Issue du mouvement coopératif et mutualiste du début du XIXème, l’ESS est un secteur qui s’est largement développé en France ces dernières années.

En France

1) L’ESS compte 2,3 millions de salariés pour 221 000 établissements

2) Le secteur représente 10 % du PIB national

3) La part de l’ESS est de 10,5% dans l’emploi total et de 14% dans l’emploi privé.

En Auvergne-Rhône-Alpes

4) La région compte 28 969 entreprises, soit 10,06% du total des entreprises d’AURA

5) Elle compte 303 950 salariés, soit 16,95% du total des emplois salariés du privé

6) Les secteurs d’activité les plus représentés sont les arts, spectacles, sport et loisirs avec 29,49 %, ou encore l’action sociale avec 16,25 %.

Dans la Métropole de Lyon

7) L’ESS compte près de 77 780 emplois

8) Dans l’économie privée, l’ESS représente 9,90% des entreprises et 12,56% des emplois.

9) La Métropole de Lyon est labellisée « Territoire French Impact» depuis 2018. La démarche nationale portée par le Ministère de la transition écologique et solidaire et a pour objectif de développer l’innovation sociale.

10) L’ESS et Lyon, c’est une histoire qui date de … 1828 ! Avec l’installation de la « société du Devoir mutuel », qui proposait d’acheter collectivement les biens de première nécessité pour les ménages les plus démunis. Cela marque le début de nombreuses innovations lyonnaises dans le secteur comme la première coopérative de consommation créée en 1835, la première banque du peuple en 1849, la première pharmacie mutualiste en 1857… En 1941, c’est aussi à Lyon qu’est lancée l’association Économie et Humanisme !

La Métropole de Lyon a pour ambition de devenir « la capitale européenne de l’innovation sociale » en développant des programmes accompagnement et d’expérimentation pour les structures de l’ESS. Le territoire bénéficie également de la présence de Ronalpia, incubateur d’entrepreneurs sociaux, qui a lié un partenariat avec l’Aderly depuis 2018. L’objectif : attirer plus d’innovateurs sociaux sur le territoire lyonnais, et les accompagner au mieux dans leur atterrissage et leur ancrage sur le territoire. De nombreuses entreprises de l’ESS ont bénéficié de ce soutien et se sont implantées en région lyonnaise, comme l’association Proxité ou Les cafés joyeux.

Retrouvez la boîte à outils pour les entreprises ESS ainsi que plus d’informations sur L’ESS dans le magazine the Only #13 premier semestre 2020.

Bandai Namco poursuit sa croissance à Lyon

L’entreprise japonaise Bandai Namco Entertainment Europe renforce son implantation à Lyon avec un nouveau vaisseau amiral de plus de 4 000 m². Le siège européen de la société passe de distributeur à créateur de contenu.

L’éditeur bien connu pour ses jeux vidéo comme PacMan, Tekken et Dark Souls, a confié la construction de ce nouveau bâtiment au promoteur Cardinal.

Installé depuis 2009 à Lyon-Vaise, le géant japonais veut agrandir ses locaux dans le même quartier afin de faire face à la croissance programmée des prochaines années. Le nouveau bâtiment sera capable d’accueillir jusqu’à 280 talents de l’industrie du jeu vidéo dans un environnement agréable dès le printemps 2021.

« Namco Bandai Entertainment Europe est un fier résident de la ville de Lyon depuis 2009 et nous sommes heureux poursuivre l’installation de notre équipe Européenne centrale dans cette ville fantastique », déclare Naoki Katashima, Président et COO de Bandai Namco Entertainment Europe.

Dans un marché du jeu vidéo en pleine croissance, l’entreprise veut franchir un cap supplémentaire avec des objectifs plus ambitieux dont la création de contenu en collaboration avec des studios partenaires.

« Nous travaillons présentement avec des développeurs à travers l’Europe, dont la France, afin de créer la prochaine génération de franchises Bandai Namco Entertainment. Nous avons pour objectif de développer 50% de nos nouveaux titres en dehors du Japon. Dans ce but, la décision d’investir à Lyon et dans notre base Européenne tombait sous le sens. », affirme Naoki Katashima.

En 2019, Bandai Namco Entertainment Europe a réalisé un chiffre d’affaires de 77,9 millions d’euros.